"Je ne perds jamais; soit je gagne, soit j'apprends."
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Biographie
Victor Ojeda Mari
Aide-chimiste, gérant, formateur, informaticien. Avant tout autodidacte. Après la naissance de sa première petite fille, il commence à écrire et à proposer ses essais religieux pour publication. Après cette première expérience, il se lance dans le genre roman et scénario ayant pour thème central : l'individu, la famille, la société, la politique, la religion, la spiritualité. Tous ces thèmes qui lui tiennent à cœur.
Mes Livres
Moi Macron narcissiquement et perversement vôtre…
ACTE 2 (05/2019 – 05/2022)
Éditeur :Le Gant et la Plume
Genre :Mémoires et Biographies
Sortie: 04/04/2022
Si Macron est réélu… Si Macron est réélu, la dette pendant 5 sera brandie par Macron pour moins d’hôpitaux, moins de retraite (qui sera prolongée jusqu’à 65 ans), moins de secteur public dans tous les domaines, etc. Ce sera à outrance le système libéral, non pas en marche, mais en force. Jupiter ne retiendra plus ses coups sachant qu’il n’a pas de troisième mandat à conquérir ; pas de record à établir. Le connaissant, c’est facile à imaginer ce que sera véritablement son deuxième quinquennat : –...
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Les termes « boucher » et « bourreau » paraissent excessifs pourtant, les Gilets jaunes l’expriment à travers leurs...
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Une fois par mois avec mon pote Thomi, auteur lui aussi, nous déjeunons au Buffalo Grill. Lors de nos retrouvailles,...
En savoir +Macron on est là pour un monde meilleur même si tu ne le veux pas !
Broché : 404 pages Editeur : Le Gant et la Plume GRAND FORMAT Dimensions du produit : 21,6 x 2,3 x 27,9 cm Macron...
En savoir +Jesus-Christ le Dieu qui s'est fait Homme
Broché : 386 pages Editeur : Le Gantet la Plume Dimensions du produit : 15,2 x 2,2 x 22,9 cm ====================================== Bouddha...
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Broché : 248 pages Editeur : Le Gant et la Plume Dimensions du produit : 15,2 x 1,4 x 22,9 cm ============================================= «...
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De sa naissance à la fin de son second mandat Broché
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En savoir +Correspondance chronologique des 4 Evangiles en 4 colonnes
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Broché : 180 pages Editeur : Le Gant et la Plume Dimensions du produit : 15,2 x 1 x 22,9 cm ================================= Xavier...
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Association Le GANT et la PLUME -Promotion Boxe, Ecriture Culture- Vie Associative- Défense et Justice pour tous
Le GANT et la PLUME regroupe les anciens boxeurs ayant vécu la passion de la boxe partagent celle de l'Ecriture et œuvrent pour la boxe, les boxeurs, toute personne dans tout domaine de la vie avec une seule devise: UN POUR TOUS et TOUS POUR UN
Biographe pour particuliers
Attendre d'être riche, et célèbre, pour avoir «sa» biographie? N‘est-il pas légitime, sans être Napoléon, Einstein ou Bill Gates, de vouloir laisser une trace écrite de son passage sur Terre? Moyennant 2 000 à 3 000 euros, M. Tout-le-Monde peut aujourd'hui entrer dans la postérité. Comment? En faisant rédiger l'histoire de sa vie par un biographe privé...
Editions Le Gant et la Pume
Le GANT et la PLUME regroupe les anciens boxeurs qui ayant vécu la passion de la boxe partagent celle de l'Écriture et œuvrent pour la boxe, la littérature, la culture, la vie associative, la défense et la justice pour tous en faveur de toute personne dans tous les domaines de la vie avec une seule devise: « UN POUR TOUS et TOUS POUR UN ».
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Revue de presse
Victor Ojeda, un écrivain passionné à l'histoire passionnante - 2/11/2017
RADIO- RCF - 02/11/2017
RADIO- RCF - Victor Ojeda, un écrivain passionné à l'histoire passionnante - Plus d'information
1- Entretien sur le livre : "Moi monsieur Lacasa Manuel Entraîneur de boxe"
VFM 88.9 est une radio associative avec Monique Animatrice "les RDV de Monique" - 30/03/2016
1- Entretien sur le livre : "Moi monsieur Lacasa Manuel Entraîneur de boxe" Plus d'information
Pour mieux connaître Macron
Urgent ! Pour mieux connaître Macron
Macron vu par ses anciens amis
Macron vus
Macron vu par ses anciens ennemis
Macron vu par ses contradicteurs
Les petits noms de Macron
— Édouard Philippe (avant d’être son Premier ministre) : « Emmanuel Macron n’assume rien, mais promet tout, avec la fougue d’un conquérant juvénile et le cynisme d’un vieux routier. »
— Gérald Darmanin (avant d’être son ministre du budget) : « Loin d’être le remède d’un pays malade, Emmanuel Macron sera au contraire un poison définitif. Son élection, ce qu’au Diable ne plaise, précipiterait la France dans l’instabilité institutionnelle et conduira à l’éclatement de notre vie politique. »
— Bruno Lemaire (avant d’être son ministre de l’économie) : « Emmanuel Macron, parce que c’est l’homme sans conviction. Il dit tout son contraire, selon ses auditeurs ? »
— François Bayrou – (avant le mariage en grande pompe) : « Posez-vous la question : pourquoi ces heures et ces heures de télévision en direct ? Pourquoi ces couvertures de magazines, pourquoi ces pages et ces pages autour de photographies ou d’histoires assez vides ? Ça ne marchera pas. Derrière cet hologramme, il y a une tentative de très grands intérêts financiers qui ne se contentent pas d’avoir le pouvoir économique, ils veulent le pouvoir politique. »
« Je ne me reconnais pas dans ce qu’Emmanuel Macron incarne. Il y a là un projet de société qui n’est pas le mien » […] « Je suis absolument sceptique sur cette affaire, et quand je dis « sceptique », c’est le mot le plus modéré que je puisse choisir. Ça ne marchera pas, parce que les Français vont voir ce que cette démarche signifie, ce qu’il y a derrière tout ça, derrière cet hologramme. Il y a une tentative qui a déjà été faite plusieurs fois par les très grands intérêts financiers et autres, qui ne se contentent plus d’avoir le pouvoir économique, ils veulent avoir le pouvoir politique. Et d’ailleurs, c’est très simple, posez-vous une question : pourquoi ces heures et ces heures de télévision en direct ? Pourquoi ces couvertures de magazines, pourquoi ces pages et ces pages autour de photographies couleur autour d’histoires qui sont vous l’avouerez assez vides ? Pourquoi tout ça ? Parce qu’on a déjà essayé plusieurs fois… On a déjà essayé en 2007 avec Nicolas Sarkozy, ça n’a pas très bien marché. On a essayé en 2012 avec Dominique Strauss-Kahn… Est-ce les mêmes forces qui veulent réussir avec Macron ce qu’elles ont raté avec Strauss-Kahn. Or pour moi, c’est absolument central, je ne suis pas pour que le pouvoir de l’argent prenne le pas sur la politique. […] Toute ma vie, je me suis toujours opposé au mélange des genres entre la décision politique, qui doit être d’ordre civique, et le monde des grands intérêts et celui de l’argent. […] Moi je suis pour la séparation de l’État et de l’argent. Il faut en tenir compte, il faut le savoir, il faut le connaître, il faut favoriser quand on peut l’activité et la création de richesses. Mais il ne faut pas que l’un ait le pas sur l’autre. »
« Emmanuel Macron, c’est le principal responsable de la politique économique suivie par François Hollande depuis 4 ans […] les résultats sont catastrophiques. Et non sans revenir sur d’anciens propos du candidat Macron, après son ralliement : Pour moi, il y a une culture française, je suis un défenseur de la culture et de la langue française. »
— Alain Juppé - (devenu ami, depuis qu’il est passé au Conseil constitutionnel, et même avant) :
« On a dressé un portrait assez idéal de l’homme politique qui conviendrait à la France et c’était un mélange de Juppé et de Macron. J’ai peur que cela ne produise un monstre […] Il est ministre de l’Économie et l’économie française n’est pas au beau fixe. Si j’étais à sa place, je me consacrerais à 150 % au rôle de ministre de l’Économie […] Je ne passerais pas mon temps à mettre des peaux de banane sous les pieds du président de la République ou du Premier ministre […] C’est ce qui me retient, parce que si je le prenais avec moi : est-ce qu’il aurait la même attitude ? Lors de sa candidature à la présidentielle du 16 novembre 2016, il ajoutera que ses idées sont « ringarde » et qu’« il a cautionné la politique de François Hollande avant de le poignarder dans le dos ». Il appelle alors à « se méfier des gens qui font le contraire de ce qu’ils disent et disent le contraire de ce qu’ils font. »
— Nicolas Sarkozy : « Que voulez-vous que j'en pense ? Il est cynique. Un peu homme et un peu femme ; c'est la mode du moment : androgyne. Ce qui vous plait chez Macron, c'est que vous aimez toujours ceux qui ne vous obligent pas à choisir. »
Ça, c’était avant ; maintenant, ils sont amis. Paraît-il qu’ils ne se quittent plus et l’opinion de Sarko a changé : « Ce type est incroyable ! Il fait un sans-faute. S'il ne commet pas les erreurs que j'ai faites, il va aller très loin, on ne pourra pas l'arrêter. Avec l'âge, je suis devenu modeste : Macron, c'est moi : en mieux. »
Macron vu par ses amis
— Jacques Attali : « De quoi Emmanuel Macron est-il le nom? - Du vide. Du vide de la politique française. Il n'incarne que le vide, que cette gauche qui veut à la fois être au pouvoir et ne pas y être parce qu'elle déteste la gauche de gouvernement. Il est le nom de ceux qui rêvent que la gauche ne soit pas au pouvoir. Emmanuel Macron a un talent fou. Je l'ai repéré tout de suite, présenté au candidat Hollande, je l'accompagne toujours, je lui ai d'ailleurs dit ce que je pensais. Si seulement, il se saisissait d'un programme. »
— Alain Minc : Ami de Rothschild, il lui a conseillé de prendre Macron. Pourquoi ? :
« Parce qu’il était exceptionnellement charmant et intelligent et que ce sont les qualités d’un banquier d’affaires qui doit être intelligent, souple, rapide et si en plus il peut être charmant, car c’est un métier de putes. Et ces qualités il les a toutes et il a merveilleusement réussi. »
Macron n’a jamais contredit Minc ; bien au contraire, il l’a confirmé devant des journalistes du Wall Street Journal le 8 mars 2015 : « D’une certaine manière, on est comme une prostituée. Le boulot c’est de séduire. »
Il est évident que ce parler « cash », il ne l’a réservé qu’aux Américains. Là-bas, ça ne choque pas. En France, il s’en garderait bien, il sait que son passage chez Rothschild passe mal et reste au travers la gorge avec sa réputation de Président des ultra-riches qui lui colle à la peau. Mais Macron, comme on le sait, tient des discours adaptés à chaque pays, partis, cultures, religions. Tel un caméléon, il les adapte. Si on lui démontre une contradiction, une forme de mépris envers la classe populaire, dans « ses petites phrases » ou autres déclarations, il répond qu’on n’a rien compris ou qu’il avait raison de tenir de tels propos ou encore qu’il plaisantait et que les Gaulois réfractaires n’ont pas le sens de l’humour. Face à l’ampleur de la polémique, sur « Le kwassa-kwassas pêche peu. Il amène du Comorien », l’Élysée tout de même reconnut que la plaisanterie était « regrettable et malvenue ». Mais il est rare que Manu fasse amende honorable. C’est au-dessus de ses forces. La vérité est qu’il a toujours raison. Il ne supporte pas d’être critiqué, contrarié. En apparence, il ne recule que si ses sondages risquent de prendre un coup à la baisse.
Macron vu par ses anciens amis
Voici ce qu’ils disent en général :
— « Il te charme, t’utilise et te jette »
— « Sa grande force, derrière ses grands sourires et ses poignées de main appuyées, est d’être sans affect, froid, cynique. »
— « C’est un pervers narcissique. »
— « Il se sert des gens et ne renvoie jamais l’ascenseur. »
— « Ils sont en tout cas nombreux, les déçus sur le bas-côté de son ascension fulgurante. »
Macron vu par ses contradicteurs
— Jean d’Ormesson : « Macron n’a pas de socle. Il vit de la chute des autres. […] Macron, c’est le grand flou. Entre l’électeur de gauche et l’électeur de droite qui votent pour Macron, l’un des deux, forcément, sera cocu, mais toute l’intelligence de Macron est de faire croire à l’un que ce sera l’autre, et inversement. »
— Natacha Polony : « Emmanuel Macron est l’incarnation absolue du système et des intérêts financiers qui se sont dit que finalement, la classe politique et les partis politiques étaient cramés, qu’il n’y avait plus aucun intérêt à les soutenir et qu’il valait mieux faire le boulot soi-même, c’est-à-dire reprendre la main et décider directement de la politique qui devait être menée. »
— Marine Le Pen : « Vous savez quoi, Monsieur Macron ? Vous avez un talent fou : vous arrivez à parler sept minutes et je suis incapable de résumer votre pensée ! Vous n'avez rien dit. Absolument rien : C'est le vide absolu, sidéral ! J'attire l'attention des Français : je voudrais quand même qu'ils s'attachent à vérifier qu’à chaque fois que vous prenez la parole, vous dites un petit peu de ceci, un petit peu de cela et jamais vous ne tranchez. On ne sait pas ce que vous voulez […], et honnêtement je trouve ça très inquiétant. Très inquiétant. »
— Marie-France Garaud : « J'ai le sentiment que Monsieur Emmanuel Macron n'a ni amour-propre ni lucidité. Il étale ses faiblesses avec un extraordinaire masochisme. Il a un petit côté chien battu. Il ne respecte pas la France et il est même en train de détruire le support de son existence politique. Il n'a pas de programme économique. Il ne peut pas en avoir parce que nous ne sommes plus qu'un territoire à l'intérieur de l'Union européenne. Il faut sortir de là le plus rapidement possible, quel qu'en soit le coût, car mieux vaut la liberté que l'esclavage. »
— Benoit Hamon : « Emmanuel Macron, c'est un clignotant : un jour, c'est la droite orléaniste, un autre c'est la gauche progressiste. Il faut tomber le bon jour de l'éclipse. »
— Philippe Villin, banquier d’affaires (proche de Nicolas Sarkozy) : « Pour moi, Macron est un imposteur qui ne vend que du vent. Il fait en sorte de plaire à tout le monde par un positionnement attrape-tout. Et c’est dangereux pour notre démocratie. C’est pourquoi je le combats chaque jour. »
— François Baroin : « Il ne dit rien sur rien et il n’en pense probablement pas plus. »
— François Fillon : « Il est un « gourou" issu du système qu’il dénonce. »
— Bernard Cazeneuve : « Il est au point de théoriser le « ni droite, ni gauche » qu’il considère comme un ailleurs improbable. À moins que ce soit la manifestation d’un opportunisme cynique dans des circonstances particulières ou d’une confondante immaturité […] C’est une belle valeur que la fidélité comme la loyauté d’ailleurs […] la politique ne [peut] se réduire à ses yeux à un exercice de séduction pure, fait de couvertures de magazine et de discours sans projet. »
— Éric Woerth : « Il est dans la séduction, pas dans la conviction. C’est un télévangéliste. »
— François Asselineau : « Macron est quelqu’un qui n’a plus de pouvoir, qui est entre le marteau et l’enclume, et qui doit se dire : plus que deux ans et demi, après c’est la quille, je vais aller chez Carlyle couler une heureuse retraite – comme un certain nombre de dirigeants. Je pense notamment à John Major, le Premier ministre britannique, qui après avoir fait entrer le Royaume-Uni dans le traité de Maastricht contre la volonté des Britanniques, grâce à un coup d’État contre Margaret Thatcher, coule des jours heureux dans ce fonds d’investissement Carlyle ; qui comme vous le savez est le fonds de la famille Bush et de la famille amie Ben Laden. »
Les petits noms de Macron
Avec Alain Minc
« Le petit Macron », tout simplement.
Avec les Rothschild
— Le Mozart de la finance : En 2008, 4 ans après sa sortie de l’ENA, Macron rejoint la banque Rothschild. À peine en deux ans, il va être nommé le « Mozart de la finance » et devient associé gérant de la banque. Une propulsion fulgurante dans l’univers de la finance : le premier étage de la fusée « Macron » est lancé en vue de devenir de « la chair à président » pour le monde de la finance : les Rothschild en tête, Rockefeller, Goldman Sachs, etc. Rien que le gratin du gratin.
Les Rothschild qui sont-ils ?
99 % de la terre est contrôlée par une élite de 1%. Il faut savoir que la famille des Rothschild établie sur tous les continents ([1]à part quelques pays) ; même sur cette élite de 1 % détient une place prépondérante. Cette dynastie, très discrète, est la lignée la plus puissante du monde et leur richesse serait estimée à 500 000 milliards d’euros. Pour donner une petite idée : s’ils distribuaient leur argent, cela ferait 100 000 euros par habitant dans le monde entier !
Tout cet argent provient des banques détenues et contrôlées par la dynastie Rothschild et la liste de ces banques centrales se compte en centaines. En l’an 2000, la dynastie Rothschild contrôle toutes les banques sauf :
— La banque centrale d’Afghanistan.
— La banque centrale d’Irak.
— La banque centrale du Soudan.
— La banque centrale de Libye.
— La banque centrale de Cuba.
— La banque centrale de Corée du Nord.
— La banque centrale de l’Iran.
Ce n’est pas une coïncidence si ces sept pays ont connu des perturbations et des guerres. Petit rappel. En 2001, les USA envahissent l’Afghanistan et en 2003, l’Irak. En envahissant ces deux pays, les Rothschild ont réussi à poser leurs mains sur la plus grosse banque du Moyen-Orient qui est la banque d’Irak.
En 2006, seulement cinq pays avaient des banques centrales qui n’étaient pas contrôlées par les Rothschild. Ces pays sont : Le Soudan, la Libye, Cuba, la Corée du Nord et l’Iran. En 2011, le régime de Kadhafi est tombé ce qui permit aux Rothschild d’en prendre le pouvoir et s’étaient dit très satisfaits de la révolution libyenne qui avait été approuvée puis soutenue par Bernard Henri Lévy. Dans la même année, le plus grand pays d’Afrique en superficie, le Soudan, se divise. Le sud Soudan devient un état indépendant le 9 juillet 2011 et sombrera rapidement dans une nouvelle guerre, intérieure cette fois.
En 2013, seulement trois pays restent debout et résistent encore à la mainmise des Rothschild : Cuba, la Corée du Nord et l’Iran. [2]
Pour les ministres de Hollande
— Emmanuel Macaron : Commençons par hollande en rappelant le contexte. Selon Le Canard Enchaîné du 28 septembre 2016, Emmanuel, lors d’un déjeuner de presse, aurait déclaré :
« Moi, je ne vais pas attendre de savoir si tarte molle y va ? ».
Une allusion qui ne peut concerner que l’ancien président et qu’il démentira avec son aplomb habituel. On sait que Hollande est le roi de la blagounette et il aurait dit à propos de Macron : « Emmanuel Macaron serait sucré à l’extérieur, mais mou à l’intérieur. ».
— Le petit marquis poudré : Par Fabius, ministre des Affaires étrangères. Un sobriquet qui fait sans doute allusion à son âge (37 ans).
— Le Coucou : D’après pas mal de ministres de Hollande, Macron, l’ancien salarié de Rothschild, avait tendance à s’approprier du travail de ses collègues. Procédés qui rappellent celui du coucou qui pond dans les nids des autres.
— Le taré du troisième étage : Surnom donné par Michel Sapin qui ne l’aimait pas.
— Le petit prince : C’est Macron lui-même qui se faisait, ainsi, appeler.
— Tullius Detritus : Sobriquet donné par plusieurs ministres qui ne le portait pas non plus dans leur cœur, en référence au personnage d’Astérix et Obelix, qui sème la zizanie sur son passage.
— Jupiter : Surnom choisi par Macron lui-même. « Jupiter, roi des dieux chez les Romains, et Zeus, son équivalent grec, celui qui règne au sommet de l’Olympe. Il voit tout en haut et ne descend sur terre que lorsque c’est indispensable ».
— Choupinet 1er : Petit nom donné par des députés signifiant : joli, mignon.
— Bébé Hollande, Micron, Emmanuel Hollande : Ces surnoms lui furent donnés lors de la campagne présidentielle par ses rivaux.
Deux anecdotes …
Jean-Baptiste de Froment (étudiant en prépa à Henri-IV)
De 1995 à 1997 - après son bac - Macron entre au Lycée Henri-IV qui est l’antichambre de l’élite intellectuelle française. Voici ce que nous déclare Jean-Baptiste de Froment : « Macron donnait un peu le sentiment que sa vie ou une partie de sa vie était ailleurs ; ce qui, lorsqu’on est en classe prépa Henri IV est quelque chose de très baroque qui n’a pas beaucoup de sens parce qu’on est censé travailler 100 % du temps. C’est quelqu’un de très intuitif. Donc, à l’oral il avait toujours de bonnes réactions. Il se trouve qu’on faisait des mathématiques dans cette prépa. En mathématique, il n’était pas très bon. Cependant, à l’oral, il donnait l’intuition de la façon dont il fallait résoudre le problème, alors qu’en mathématique, il n’y a pas 36 cas de figure : vous avez la solution ou vous ne l’avez pas. Eh bien, lui il trouvait une troisième voie entre celui qui a la solution et celui qui ne l’a pas. C’est-à-dire : celui qui a l’air d’avoir compris quelque chose et qui va vous amener quelque part en vous embobinant alors que malgré tout la solution n’est pas là. »
Juan Branco à Sud Radio avec Bercoff
Juan Branco : « Quelqu’un m’a raconté, alors que Macron sort de la Rotonde et arrête un taxi. Lors du parcours, le taxi lui dit : « Vous êtes un salaud ! » Eh bien, Macron a pris 3/4 heure pour discuter avec lui, parce qu’il ne supportait pas l’idée que quelqu’un ne l’aime pas ou ne soit pas d’accord avec lui. Et cette obsession de convaincre qu’il a raison et que ce qu’il fait est bien ; c’est sa constance dans l’exercice de son pouvoir macronien. »
Bercoff : « Oui, mais ce n’est pas par pure humanité qu’il agit ainsi. »
Branco : « Bien sûr que non ! C’est, en fait, un rapport de narcissisme. Il n’arrive pas à sortir d’un rapport de séduction. »
[1] http://www.blogdelazare.com/2018/09/plus-que-4-pays-sans-banque-centrale-rothschild.html
[2] La famille Oppenheimer est une dynastie d'entrepreneurs miniers et de magnats du diamant sud-africain d'origine ashkénaze allemande, fondatrice de la holding britannique Anglo American. Elle est l'un des principaux actionnaires de De Beers.
Macron est atteint du syndrome de l’hubris
Macron est atteint du syndrome de l’hubris
Début septembre 2018, Gérard Collomb fit une déclaration intéressante à des journalistes expliquant la baisse de popularité de Macron et du gouvernement dans les sondages :
« Peut-être, les uns ou les autres, nous avons manqué d'humilité. « En grec, il y a un mot qui s'appelle hubris, c'est la malédiction des dieux. Quand, à un moment donné, vous devenez trop sûr de vous, vous pensez que vous allez tout emporter. [...] Il y a une phrase qui dit que les dieux aveuglent ceux qu'ils veulent perdre, donc, il ne faut pas que nous soyons dans la cécité. »
Il fallait s’y attendre, le chef n’a pas apprécié et au cours d’un diner secret à l’Élysée, sous dame patronnesse Brigitte, il a voulu mettre les points sur les « I » », paraît-il le 10 septembre.
Gérard Collomb s’est à nouveau lâché auprès de la presse expliquant qu’il n’a pas fait marche arrière :
« Je lui ai dit ce qui n'allait pas et il m'a répondu. Le président voit bien que les temps sont durs. La première année, c'est la plus difficile. Vous êtes dans une espèce d'enthousiasme collectif… »
L’hybris ou l’ivresse du pouvoir qui rend fou
Je n’ai pas « percuté » sur ce mot « Hubris » ou « Hybris » que je découvrais pour la première fois et je n’ai pas eu le réflexe de consulter le dictionnaire. Je l’ai fait et c’est très intéressant, car ce terme complète, confirme, explique la vraie nature de Macron : le pourquoi, le comment dans son fonctionnement lors d’évènements, de situations qu’il traverse dans sa vie et qui ont une répercussion dans le pays qu’il gouverne malheureusement, et ce en principe jusqu’en 2022.
Selon le Larousse, l’hubris est tout ce qui, dans la conduite de l'homme, est considéré par les dieux comme démesure, orgueil, et devant appeler leur vengeance ; ou encore : Ivresse de la démesure provoquée par l’orgueil, par la passion et jugée répréhensible.
Le syndrome d’hubris est la maladie du pouvoir qui rend fou :
– La perte du sens des réalités.
– L’intolérance à la contradiction.
– L’abus de pouvoir.
– L’obsession de sa propre image.
– L’action et la parole à l’emporte-pièce.
– L’arrogance, la prétention, l’égotisme.
– La manipulation, le mensonge, le mépris.
– Le manque d’intérêt pour tout ce qui ne le concerne pas.
– L’impossibilité d’éprouver de l’empathie avec le don de l’imiter.
– Etc.
Comme on peut le constater, celui qui est atteint du syndrome de l’hubris présente toutes les caractéristiques du psychopathe ou sociopathe. On comprend combien un psychopathe disposant d’un pouvoir absolu : roi ou président peut devenir dangereux pour le pays qu’il dirige.
Pascal avertissait ceux qui détenaient le pouvoir :
« Surtout, ne vous méconnaissez pas vous-même en croyant que votre être a quelque chose de plus élevé que celui des autres […] Car tous les emportements, toute la violence, et toute la vanité des grands viennent de ce qu’ils ne connaissent point ce qu’ils sont. »
Ce grand philosophe enseignait que le pouvoir exerce une grande influence sur celui qui le détient et également un impérieux envoutement. L’histoire démontre que le pouvoir mal utilisé corrompt et rend fou.
Le philosophe Alain dit très justement et simplement :
« Tout pouvoir sans contrôle rend fou. »
Son résultat est toujours le malheur, la folie et pour le tyran et pour le peuple tyrannisé. Pourtant, malgré les leçons du passé, les mêmes erreurs se reproduisent.
Il est compréhensible que celui qui veut atteindre du pouvoir obligatoirement et par nature détienne une certaine dose de narcissisme. [1]Or, il est confirmé par des études scientifiques, que lorsque ces personnes obtiennent enfin le pouvoir convoité, ce narcissisme se démultiplie. La sagesse voudrait qu’il ne faille jamais donner le pouvoir à ceux qui le désirent. L’histoire depuis le commencement, malheureusement, démontre le contraire.
Test pour savoir si nous sommes atteints du « syndrome d’hubris »
David Owen, médecin et ancien ministre des Affaires étrangères, indique les 14 symptômes. Pour être atteint du syndrome, il faut en présenter au minimum 3 :
1 – Inclination narcissique à voir le monde comme une arène où exercer son pouvoir et rechercher la gloire.
2 – Prédisposition à engager des actions susceptibles de présenter l’individu sous un jour favorable, c’est-à-dire pour embellir son image.
3 – Attrait démesuré pour l’image et l’apparence.
4 – Façon messianique d’évoquer les affaires courantes et tendance à l’exaltation.
5 – Identification avec la nation ou l’organisation, au point que l’individu pense que son point de vue et ses intérêts sont identiques à ceux de la nation ou de l’organisation.
6 – Tendance à parler de soi à la troisième personne ou à utiliser le « nous » royal.
7 – Confiance excessive en son propre jugement et mépris pour les critiques et les conseils d’autrui.
8 – Impression d’omnipotence sur ce que l’individu est personnellement capable d’accomplir.
9 – Croyance, qu’au lieu d’être responsable devant ses collègues ou l’opinion publique, le seul tribunal auquel il devra répondre sera celui de l’histoire.
10 – Croyance inébranlable que le jugement de ce tribunal lui sera favorable.
11 – Perte de contact avec la réalité, souvent associée à un isolement progressif.
12 – Agitation, imprudence et impulsivité.
13 - Tendance à accorder de l’importance à leur« vision », à leur choix, ce qui leur évite de prendre en considération les aspects pratiques ou d’évaluer les coûts et les conséquences.
14 – Incompétence « hubristique », lorsque les choses tournent mal parce qu’une confiance en soi excessive a conduit le leader à négliger les rouages habituels de la politique et du droit.
Avez-vous fait le test pour vous ? Je l’ai fait pour moi ! L’avez-vous fait pour Macron ? Je l’ai fait pour lui !
Pour Manu, il suffit de relever, les actions, les petites phrases ainsi que ses réactions lorsqu’il est contrarié ou critiqué, pour répondre précisément à ce test.
Sur les 14, Macron présente 13 symptômes d’hubris. Celui que j’ai éliminé est le 6 (Tendance à parler de soi à la troisième personne ou à utiliser le « nous » royal). Jusqu’à présent, je ne l’ai pas relevé (c’est le cas connu pour Alain Delon). Il y a de quoi se faire du souci sur ce score impressionnant : 13 sur 14 ! C’est effrayant !!!
Le syndrome de l’hubris c’est le cas pour Hitler, Staline, etc. également pour remonter dans l’histoire à Napoléon et autres généraux. Pour rester près de notre histoire : Bush Junior, Tony Blair, Obama (au cours de son mandat et malgré son prix Nobel de la Paix, il fit larguer plus de bombes dans le monde que Bush) Sarkozy en Lybie et dans une certaine mesure Hollande et Macron en Syrie, etc.
Pour être atteint du syndrome de l’hubris ou pour être un psychopathie, nul besoin d’être un chef d’État. En voici un exemple parmi tant d’autres qu’on pourrait citer en faisant un minimum de recherches :
[2]Le jour du 15e anniversaire de l'intervention américaine en Irak, lors de l'émission « 60 Minutes » de CBS News le 12 mai 1996, une journaliste pose la question suivante Madeleine Albright, ambassadrice américaine à l’ONU :
– Nous savons que 500 000 enfants irakiens sont morts. Cela fait plus que les enfants qui sont morts à Hiroshima. Est-ce que cela en valait la peine ?
Elle a répondu sans sourciller :
– Je crois que c'était un choix très difficile, mais … nous pensons que le prix en valait la peine.
Tout le monde peut contracter le syndrome de l’hubris
Le syndrome d'hubris ne touche pas que les rois, les présidents, les généraux, les PDG de multinationales. Toute personne qui reçoit un peu d’autorité ou qui s’en attribue peut contracter cette maladie.
Par exemple, au bureau, lorsqu’un employé reçoit une promotion, alors qu’il était super-sympa auparavant devient imbuvable et joue désormais au « petit chef » s’attirant la détestation et les sarcasmes des collègues. Dans les entreprises, c’est malheureusement monnaie courante. On peut imaginer ce qu’il adviendrait si cette personne était propulsée : PDG, ministre…
Ceci montre combien nous devons nous jauger constamment pour ne jamais sombrer dans le travers immonde du syndrome d’hybris.
Pour se protéger de l’hubris… c’est simple !
Pour se protéger du syndrome de l’hubris, c’est simple ! Il suffit, qui que nous soyons, de ne jamais oublier que lorsque nous allons faire « notre petite commission » nous sommes tous assis sur le même trône et dans la même position ridicule… mais ô combien soulageante et bienfaisante !
[1] Le chercheur Ian Robertson, cité par La Vie « le pouvoir absolu inonde le cerveau de dopamine. Il crée aussi une addiction et le sentiment de toute puissance qui va avec. »
Mea culpa de Macron… Mon oeil !
Mea culpa de Macron… Mon oeil !
Lorsque j’ai écouté le discours de Macron à Genève devant l’Organisation internationale du travail, ce mardi 11 juin 2019, j’ai eu envie de pousser un grand coup de gueule…
Chaque année, le pape adresse deux bénédictions importantes à Noël et à Pâques « Urbi et Orbi » ; c’est-à-dire « À la ville de Rome et au monde entier ». On pourrait faire une analogie avec celui de notre président jupitérien.
En effet, une partie du discours de Macron s’adresse à la France et l’autre au Monde. Voici les extraits que j’ai sélectionnés pour faire un article aussi court que possible et démontrer la perversité narcissique de notre Timonier détesté.
Orbi – Au monde -
— « Quelque chose ne fonctionne plus dans ce capitalisme qui profite de plus en plus à quelques-uns. Je ne veux plus que nous considérions que le sujet d'ajustement économique et de la dette prévaut sur les droits sociaux. »
— « Remettre en effet l’homme au cœur, l’humanité au cœur, moi je ne veux pas commettre avec vous la même erreur et donc nous devons réussir à ce que notre modèle productif change en profondeur pour retrouver ce que fut l'économie sociale de marché, une manière de produire, de créer de la richesse, indispensable, mais en même temps de porter des éléments de justice et d'inclusion. »
Urbi – À la France -
— « Lorsque le peuple français dit avec force ce qu'il a dit, je crois qu'il faut avec beaucoup d'humilité savoir écouter, constater ce qu'on a mal fait, ne pas arrêter de faire ce qu'on doit faire, savoir changer de méthode, mais entendre l'intuition, le message profond »
— « La France a traversé une crise très dure, nous sommes en train de passer d'un monde à l'autre. Une souffrance s'est exprimée, et aussi des excès, je ne les confonds pas. Mais face à cette souffrance, je veux remettre de la proximité, de l'humanité. C’est un changement de méthode que j'ai décidé. Pas de réduction de notre ambition économique, une accélération notre ambition environnementale et de notre préoccupation sociale »
Les faits simples, explicites et têtus démontrent l’hypocrisie habituelle de Macron.
1- La casse du modèle social français
— En 2007, Nicolas Sarkozy demande la mise en place d’une commission chargée de rédiger un rapport fournissant des recommandations et des propositions afin de relancer la croissance économique de la France. Elle sera confiée à Jacques Attali. Elle comprend 42 membres choisis personnellement par Attali. [1]Tous des libéraux et ultra-libéraux. Cette commission finira par s’appeler la Commission Attali.
— Jouyet, présente Macron à Attali qui le nomme rapporteur général adjoint.
— Pierre Ferracci dit de Macron : « Il était la doublure d'Attali, et servait souvent de tampon entre les membres de la commission. Il était très apprécié, car il savait intégrer les points de vue des uns et des autres. »
— Macron, donc, participe avec zèle et dévouement à cette commission et fait un travail remarquable et remarqué.
Cette commission définit 316 propositions, n’ayant d’autres buts que de mettre pour les 10 ans à venir les injonctions de Bruxelles. Notamment ramener le déficit public à 3 % du PIB et la casse du modèle social que le monde entier nous envie avec en priorité la casse du Code du travail (en partie en attendant de faire mieux) de ce que le Conseil de la Résistance avait mis en place pour le bien des travailleurs et leur assurer des jours heureux.
— En 2010, Macron devient conseiller économique du candidat Hollande.
— En 2012, après la victoire de Hollande aux présidentielles, Attali et Jouyet font l’éloge de Macron qui deviendra Secrétaire général adjoint de la présidence de la République, chargé du pôle économie et finances. Attali dit à Hollande à propos de Macron : « On n’en voit pas un comme ça tous les dix ans… ». Macron occupe un bureau d’angle au 4ième étage du Palais de l’Élysée avec vue sur les jardins. À ce poste, il est à l’origine des créations socialistes du « pacte de responsabilité et de solidarité » et du « crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi » (CICE) où « Flamby Hollande » est allé encore plus loin que Sarko.
— Dans le gouvernement Valls, Macron poursuit son travail de sape du Code du travail commencé avec Attali. Dans son bureau de Bercy, il est derrière le projet de réforme du code du Travail de la ministre du Travail Myriam El Khomri dans les mesures qui sont les plus controversées. Jean-Claude Mailly, secrétaire général de force ouvrière, ne se trompait pas quand il surnommait ces lois « dites de El Khomri », les lois « El Macron ».
— Une fois élu, Macron poursuit son œuvre de destruction jusqu’au mercredi 12 juin 2019 ; où, Édouard Philippe, dans sa deuxième déclaration de politique générale, annonce le projet de casse définitif du modèle social français et de son Code du travail avec la réforme de l’assurance chômage et des retraites !
2- Le grand débat ou grand blabla
Le grand débat a été le grand déballage, le grand blabla. Macron s’est mis comme d’habitude en vedette. Il s’est payé ainsi qu’à son parti une campagne gratuite aux frais du contribuable. Il a fait dépenser 12 millions €, un pognon de dingue, pour rien.
Le jeudi 29 novembre 2018, les Gilets Jaunes ont publié la liste de 42 revendications et transmise aux députés et aux médias qui commençait : [2]« Députés de France, nous vous faisons part des directives du peuple pour que vous les transposiez en LOI… »
Cette liste avait, non seulement, le mérite d’exister depuis le début du conflit, mais elle démontre l’organisation intelligente des Gilets Jaunes et le fruit d’un travail découlant de leurs parlements inédits, débats locaux, cahiers de doléances qui rappellent ceux de 1789. Cette liste complète démontre également le jaillissement d’un nouveau lien de solidarité, de fraternité qui brise l’isolement et stimule la créativité. Les Gilets Jaunes ont compris et mettent en application, face à ce pouvoir macronien tyrannique et arrogant, l’adage : « Tout seul on va plus vite ; ensemble, on va plus loin ». Macron n’a tenu compte de rien. Rien de rien !
3-Macron « aurait » vendu le bijou de famille de la Maison France : Alstom à General Electric.
— [3]« Hugh Bailey, aujourd’hui à la tête de GE France, n’est autre que l’ancien conseiller pour les affaires industrielles et le financement à l’export d’Emmanuel Macron à Bercy. Un ex-conseiller qui dirigea la vente d’Alstom à General Electric. Une information qui ne manque pas d’alimenter ceux qui accusent le gouvernement d’avoir été au courant, voire d’avoir fait pression sur GE pour reporter une telle annonce au lendemain d’une échéance électorale disputée.
« Ce qui est certain, c’est qu’il y a réellement connivence entre certains acteurs, il est trop tôt encore pour dégager les tenants et les aboutissants. L’affaire Alstom, que je connais bien, a été une véritable trahison à la fois des dirigeants d’Alstom, avec la complicité d’un ministre de l’Économie et des Finances qui a d’ailleurs menti devant le Parlement. Pour ce qui est des intérêts croisés, je m’en remets à la justice. »
— [4]« En 2014, Arnaud Montebourg est encore ministre de l'Économie lorsqu'il apprend avec surprise que des discussions sont en cours entre Alstom et General Electric. La première vendrait à la seconde sa branche énergie, qui représente 70% de son activité. "Si on écoute les acteurs politiques de l'époque, ils tombent de l'arbre", se rappelle Olivier Marleix, député LR d'Eur-et-Loir et président de la commission d'enquête parlementaire sur la politique industrielle de l'État.
La version d'Arnaud Montebourg est sans doute sincère, mais l'histoire n'est pas tout à fait celle-là", révèle-t-il sur RTL ce vendredi 20 avril. "La vente a germé fin 2012 et Emmanuel Macron (à l'époque secrétaire général adjoint de l'Élysée, NDLR), selon toute vraisemblance, avait commandé une étude très précise pour 300.000 euros à l'APE (Agence des Participations de l'État, NDLR) sans en informer le ministre de l'Économie, pour tester l'éventualité de cette vente", affirme Olivier Marleix.
Seulement, lors de l'enquête menée par la commission des Affaires économiques, l'actuel chef de l'État a affirmé s'être retrouvé devant un projet totalement ficelé. "Il n'a pas dit la vérité lorsqu'il a été entendu", dénonce le député, qui s'appuie sur un simple fait : "Pourquoi n'a-t-il pas fait mention de l'étude qu'il avait commandée en 2012 ?". Aujourd'hui, ces conclusions ne vont pas servir "à refaire l'histoire", mais à "sortir de cette opacité", conclut Olivier Marleix. »
4- Macron envisage de vendre les bijoux de famille de la Maison France
— La Française des jeux (FDJ) et Aéroports de Paris (ADP), deux fleurons de l’économie française.
— Des barrages électriques : vendre ce bien commun de chaque français à des lobbies industriels…
— En envisageant de faire d’autres cadeaux du même genre à ses « petits copains » les ultra-riches…
5- Conclusion
Comment Macron face à la « souffrance veut-il remettre de la proximité, de l'humanité » et ne pas considérer que « le sujet d'ajustement économique et de la dette prévaut sur les droits sociaux. » ?
a/ En poursuivant son inhumaine répression des Gilets Jaunes par les forces de l’ordre. Et, ce malgré les avertissements et les protestations de :
— Jacques Toubon, Défenseur des Droits qui a demandé la suspension de l’usage du Lanceur de Balles de Défense, en particulier du modèle LDB 40x46
— Michelle Bachelet la Haut-commissaire aux droits de l'homme des Nations unies, qui a mis en cause les conditions du maintien de l'ordre lors des manifestations des « gilets jaunes ».
b/ En continuant à vendre des armes à l’Arabie Saoudite qui massacre la population du Yémen et provoque la pire crise et famine humanitaire au monde.
c/ En cassant définitivement ce que le Conseil de la Résistance avait mis en place pour le bien des travailleurs et leur assurer des jours heureux.
d/ En soldant la Maison France à ses petits copains.
Etc. Etc.
Voilà comment il ne veut pas commettre la même erreur : et « donc nous devons réussir à ce que notre modèle productif change en profondeur pour retrouver ce que fut l'économie sociale de marché, une manière de produire, de créer de la richesse, indispensable, mais en même temps de porter des éléments de justice et d'inclusion. »
Du vent, du blabla, du pipeau, de l'arnaque, de la manipulation…Comme d’habitude !
La perle
Mais voilà, à mon avis, la perle de son discours :
« Nous avons peut-être parfois construit de bonnes réponses trop loin de nos concitoyens. En considérant qu'il y avait des sachants et des subissants. »
Macron-Jupiter, le « Grand Sachant et Sachem » aurait pu dire qu’il y a aussi : « En considérant qu’il y a les agissants et les obéissants ». Pour être plus clair : « En considérant qu’il y a les intelligents et les abrutis(ou les cons) ».
Macron reprend la macronerie ou macronade de taille du chef de file des députés La République en Marche ; le sieur Gilles Le Gendre :
« Nous avons insuffisamment expliqué ce que nous faisons (...). Et une deuxième erreur a été faite, dont nous portons tous la responsabilité (...) : le fait d'avoir probablement été trop intelligents, trop subtils, trop techniques, dans les mesures de pouvoir d'achat. »
CONCLUSION
Macron n’a pas changé. Il ne changera jamais. C’est un pervers narcissique. C’est dans sa nature profonde. Je ne peux pas développer cette certitude. Ce serait trop long. Cependant, je recommande de visionner la vidéo du Professeur Adriano Sagatori (Psychiatre-psychothérapeute italien). [5]L’analyse de ce psychiatre au cours du temps se vérifie incroyablement dans son comportement souvent étrangement maladif. Ainsi que lire l’article : « [6]Macron psychopathe ? » de Philippe Vergnes.
Macron est un être sans pitié. Marc Endeweld, journaliste et auteur du livre « Le grand manipulateur », met à nu Macron : « Une phrase revient dans la bouche de plus d'une dizaine d'interlocuteurs : il séduit, il utilise et il jette. ».
C’est un type dangereux. Il va finir par me faire regretter Sarko et « en même temps » Hollande. C’est peut dire…
Quand il ne sera plus président, il retournera chez tonton Rothschild où une super place l’attend ou à Goldman Sachs comme José Manuel Barroso. Il fera comme Bill Clinton, Tony Blair, Obama quelques conférences où il gagnera plusieurs centaines de milliers d’euros ou de dollars pour ¾ d’heure de baratin. Histoire de se faire un peu de flouze ; d’être tout simplement payé en fausses factures en retour des ultras services rendus à ses copains « la crème des ultras-riches ».
Peut-être deviendra-t-il le prochain président de la communauté européenne, ou du FMI ?
Peut-être comme Al Gore sera-t-il le président « d’un Truc, d’un Machin », « d’une Usine à Gaz » dans l’écologie et obtiendra-t-il le prix Nobel de la Paix ?
Peut-être sera-t-il nommé plusieurs fois le Champion du Monde la Terre toutes catégories ? Ce type aime tellement les records !
En tout cas, je ne me fais pas de souci pour son avenir…ses copains feront qu’il soit jupitérien !
La devise de l’Union européenne : « L’union dans l
La devise de l’Union européenne : « L’union dans la diversité » … pour rester poli … mon Q !!!
Ouais ! La devise de l’Union européenne : « L’union dans la diversité » … pour rester poli … mon Q ! Je signe et je persiste.
Quelques définitions … histoire de comprendre un peu !
J’ai essayé de voir un peu clair dans cette usine à gaz qu’est l’Europe :
1 — C’est quoi le Conseil européen ? « Le Conseil européen est une institution qui réunit les chefs d'État ou chefs de gouvernement des vingt-huit (27 vu que l’Angleterre ne fait plus partie) états membres de l'Union européenne, sous la tutelle d'un président chargé de faciliter l'apparition d'un compromis. » [1]
2 — Comment est nommé le président du Conseil européen ? Autrement dit celui qui va remplacer l’inénarrable Junker.
« [2] L'article 17 du traité sur l'Union européenne, amendé par le traité de Lisbonne, détermine la procédure de nomination du président et de son équipe : dans un premier temps, le Conseil européen désigne, à la majorité qualifiée, un candidat à la présidence de la Commission « en tenant compte des élections au Parlement européen, et après avoir procédé aux consultations appropriées ». Le Parlement européen doit ensuite élire ce candidat « à la majorité des membres qui le composent » (soit 376 voix sur 750 membres). Le Conseil doit ensuite adopter, en accord avec le président, une liste de candidats aux postes de commissaire (un par État membre). Le candidat doit alors faire approuver, en accord avec le Conseil, son équipe et son programme par le Parlement. Enfin, le président et son équipe sont nommés à la majorité qualifiée par le Conseil."
Si je ne suis pas trop largué, cela veut dire qu’actuellement, le Conseil européen avec sa ribambelle de chefs d’État et Jupiter ou « Jupy-t’es-rien » en personne discutaillent en se crêpant le chignon pour élire ce président du Conseil :
En lice, pour le Plan « A » quatre noms sont sortis pour le moment du chapeau :
— L’allemand Manfred Weber.
— Le néerlandais Frans Timmermans.
— La danoise Margrethe Vestager.
— Le français Michel Barnier.
Notons des plans : « B, C, D, […] X, Y, Z » qui seraient prêts à sortir d’autres chapeaux.
[3] Les bruits de couloir :
— Christine Lagarde : Directrice générale du Fonds monétaire international depuis 2011, elle ferait partie des personnalités régulièrement évoquées.
— Angela Merkel : Elle a dit ne pas briguer un cinquième mandat à la tête de l'Allemagne. Il semblerait toutefois irréaliste que la chancelière allemande passe directement de Berlin à Bruxelles.
— Pour les libéraux : trois Premiers ministres : le Néerlandais Mark Rutte , le Belge Charles Michel et le Danois Lars Lokke Rasmussen.
— Pour les socialistes : le Premier ministre portugais Antonio Costa.
— Pour les conservateurs : La présidente lituanienne, Dalia Grybauskaite.
— Et d’autres encore et encore : l'ancienne Première ministre danoise Helle Thorning- Schmidt, la directrice de la Banque mondiale Kristalina Gueorguieva, le ministre des Affaires étrangères espagnol Josep Borrell.
Et…cerise sur le gâteau, notre ministre de l'Économie français : Bruno Le Maire. Vous savez, ce ministre de l’Agriculture qui ne savait pas combien 1 hectare fait de mètres carrés. Ouais ! Je ne déconne pas ! Et re-ouais, parce qu’en ce moment vous êtes en train de vous gratter la tête et vous dire :
— Mais, ce n’est pas possible, ce mec est ministre du Budget ; notre budget !
Bonjour les dégâts, n’est-ce pas !? On comprend tout ; pas besoin de FREE !
Quand je dis qu’en huis clos ça discutaille et ça se crêpe le chignon je n’exagère pas. Notre bien-aimé « Timonier », ce lundi premier juillet 2019, l’exprime on ne peut mieux en termes diplomatiques :
« Nous avons terminé cette journée sur un échec, c'est une très mauvaise image pour le Conseil et l'Europe. » […] « Cet échec est lié aux divisions et parfois à des ambitions personnelles qui n'avaient pas lieu d'être autour de la table. Il faut avoir des réunions mieux préparées. Tout ce processus a été mal pensé. »
Connaissant Macron, il doit avoir « les boules ». Lui qui pensait être « l’homme providentiel de l’Europe ». Celui qui allait prendre par la menotte Poutine, la Merkel et Trump et les amener dans un EHPAD pour VIP. Lui qui pensait, après s’être débarrassé de ces antiquités, prendre la direction de la START-UP EUROPE et pourquoi pas MONDIALE ? Oui, pourquoi pas ; j’ai bien dit « MONDIALE » ?! N’a-t-il pas été élu « Champion de la Terre » et « Champion du climat » !
Paraît-il que « … c'est à ce moment-là d'ailleurs qu'il réalisa un joli coup et marqua les esprits en lançant son célèbre « Make our planet great again » (rendons notre planète plus grande) en imitant le slogan de campagne de Trump « Make America great again » ». Vous voyez bien que je ne dis pas des conneries !
Parlons de quelqu’un qui parlait sérieusement et pas comme Macron…
Il s’agit de De Gaulle qui, quand il s’agissait de l’ONU, il disait : « Le machin. » Et, il précisait :
« L'ONU est une arme dans la main des grandes puissances qui s'en servent pour maintenir les plus faibles dans la servitude ».
Pour De Gaulle, l’OTAN, comme l’ONU était aussi « Le machin ». Il était encore plus précis sur l’Europe :
« C'est bien sur l'Europe qu'il vous faut compter, pour vous, vos enfants, pour les leurs. À cet égard, me permettrez-vous une dernière confidence ? Je suis conduit à penser que l'Europe n'est pas encore née. C'est bien certain au moment où j'écris ces lignes, mais ce sera également vrai lorsque vous les lirez. L'Europe ne pourra naître et se développer que lorsqu'elle se sera affranchie de sa tutelle américaine. Il sera nécessaire, un jour, qu'un dirigeant européen désolidarise sans ambiguïté son pays du mortifère convoi de Washington. Les autres suivront, pardi ! Il remettra l'OTAN en cause, ce machin ô combien inutile, et même dangereux ! Il annoncera une ère nouvelle, où l'Europe, en matière diplomatique et militaire, parlera d'une seule voix : la sienne, que la chambre capitulaire des affaires du monde accueillera enfin, au côté de celle des États-Unis, qui, pour ne pas être remise en cause, ne doit pas demeurer la seule audible. »
On voit bien que dans cette déclaration, De Gaulle met dans le même sac :
— L’union européenne,
— l’OTAN,
— Et les Américains.
Parlons de Mitterrand au sujet des Américains…
Voici les dernières paroles de Mitterrand, après 14 années passées à l’Élysée, et quelques semaines avant de mourir. Paroles où il livra son testament politique aux Français :
« La France ne le sait pas, mais nous sommes en guerre avec l’Amérique. Oui, une guerre permanente, une guerre vitale, une guerre économique, une guerre sans mort…apparemment. Oui, ils sont très durs les Américains, ils sont voraces, ils veulent un pouvoir sans partage sur le monde… C’est une guerre inconnue, une guerre permanente, sans mort apparemment et pourtant une guerre à mort ! »
Parlons de quelqu’un d’autre qui parle comme De Gaulle et Mitterrand dans ses derniers jours… Donnons-lui la parole, bon sang !
François Asselineau
« La construction européenne et l’OTAN sont les 2 faces d’une même médaille : la face civile et la face militaire qui est la médaille de l’asservissement et de la colonisation par la grande puissance américaine. »
Il s’est passé ce que nous constatons maintenant. C’est-à-dire une tour de Babel ingérable devenue un glacis géopolitique américain. Et nous sommes en route vers le désastre absolu de notre nation. À cause de cette guerre invisible, cette guerre inconnue dont parlait Mitterrand ; une guerre nouvelle de type totalement inconnu.
En 1962, nous avions l’Europe des 6 où la France était au centre des opérations
En 1973, c’est l’Europe des 9, avec l’entrée du Royaume-Uni, de l’Irlande et du Danemark où le centre européen se déplace vers le Nord.
En 1981, c’est l’Europe des 12, avec l’entrée de la Grèce, de l’Espagne, du Portugal, le centre se rééquilibre vers le sud.
Et chaque fois, la France pèse de moins en moins dans la balance européenne.
En 1995, c’est l’Europe des 15, avec la Suède, la Finlande et l’Autriche. Insensiblement, les pays anglophones ou ayant recours facilement à la langue anglaise se substituent à la France et à la langue française.
En 2004, c’est l’Europe des 25 avec 10 nouveaux pays de l’Est. En 2007, c’est l’Europe des 27 avec l’entrée de la Bulgarie et de la Roumanie.
À chaque fois, les E-U sont là pour faire entrer de plus en plus d’États. Vous comprenez à quel point le bobard que l’on vous raconte sur le fait que l’Union européenne fait la force est une monstruosité.
C’est facile à comprendre mathématiquement. Pourquoi ? Avec 27 pays, l’UE comprend 500 millions d’habitants. Les États-Unis 308 millions. Si, effectivement, il fallait avoir le plus grand nombre d’habitants possible pour peser, alors les Américains feraient tout pour empêcher le développement de l’UE. Ils feraient entrer dare-dare le Canada, le Mexique, le Venezuela, le Panama, le Costa Rica dans les États-Unis d’Amérique. Ce n’est pas du tout ce qu’ils font ! Le long du Rio Grande dans la frontière, entre les États-Unis et le Mexique, ils tirent à vue sur les Chicanos qui veulent entrer aux États-Unis. C’est une des frontières les plus dangereuses du monde ! S’ils imposent à l’Europe ce qu’ils se gardent de faire pour eux, cela prouve la stratégie d’affaiblissement et de vassalisation de l’Europe à leur profit.
[…] Pourquoi est-ce que j’ai créé ce mouvement politique le 25 mars 2007, le jour même du 50ième anniversaire du traité de Rome ? C’est pour appeler les Français à en sortir et pour imposer qu’on ait le droit d’en reparler, qu’on ait le droit de débattre parce que nous sommes dans une démocratie où on a le droit de parler de tout, de toutes les idées politiques et de les combattre s’il le faut.
Oui, donnons-lui SVP la parole !
[1] https://fr.wikipedia.org/wiki/Pr%C3%A9sident_de_la_Commission_europ%C3%A9enne
[2] https://fr.wikipedia.org/wiki/Pr%C3%A9sident_de_la_Commission_europ%C3%A9enne#Histoire
[3] https://www.touteleurope.eu/actualite/qui-sera-le-prochain-president-de-la-commission-europeenne.html
Les Macron...un couple machiavélique avide de pouv
Les Macron...un couple machiavélique avide de pouvoir
Dans le couple Macron au foyer qui porte le pantalon ?
Je me souviens avoir regardé le documentaire « Emmanuel Macron, les coulisses d'une victoire ». Un épisode m’a beaucoup amusé. Etait-il joué à dessein ou vrai ? Sachant que Macron en fait trop dans ses prestations devant un public quel qu’il soit et surtout devant les caméras, je pense que la scène était vraie. Si tel n’est pas le cas alors c’était bien joué. Bravo les artistes !
C'était le 20 mars 2017, après le débat entre les cinq candidats à la présidentielle. Macron retrouve son équipe et son épouse pour faire le point sa prestation. Il s’assoit et dit :
« Donnez-moi des chocolats ou des machins comme ça. »
Brigitte intervient sèchement :
« Non ! Je ne veux pas que tu manges des saloperies ! »
« Bon alors donnez-moi de l'eau. », rétorque-t-il sans moufter.
Sachant que Manu a la réputation d’être maladivement autoritaire et qu’il n’admet de personne la moindre remarque, à cette occasion, il révéla un visage inattendu.
Au foyer, l’idéal serait que le pantalon soit porté à égalité par le couple. Pour notre société actuelle ayant conservé des relents de machisme, ce serait l’homme qui en principe porte le pantalon. En principe, car dans la pratique, étant souvent plus fine, c’est la femme qui le porte tout en faisant croire le contraire. Il y a des hommes qui sont des terreurs au bureau et des agneaux quand ils rentrent au foyer. C’est connu.
Alors, la question est posée : dans le couple Macron, qui au foyer porte le pantalon ? Pour répondre à cette question, remontons dans le temps. Au temps où le petit Manu âgé de 16 ans était scolarisé au lycée des Jésuites la Providence d’Amiens.
Des élèves se souviennent encore tellement il laissa parmi eux des souvenirs extraordinaires et donc impérissables :
[1]« On savait tous, déjà, qu’Emmanuel avait une intelligence exceptionnelle » « Il se savait différent. A 14 ans, il se rêvait comme auteur. Moi je l’imaginais Prix Nobel de littérature. Je lisais ses lettres dotées d’un style flamboyant. On se rendait compte que ce type était différent. » « A 16 ans, il est lauréat du Concours général de français, se passionne pour la musique et décroche un troisième prix au conservatoire d’Amiens. »
Mais voilà qui nous intéresse plus particulièrement :
[2]« Au lycée des Jésuites la Providence « Sa professeure de français en classe le citait tout le temps en exemple. Elle était totalement subjuguée par ses talents d’écriture […] Il écrivait tout le temps des poèmes et elle les lisait devant tout le monde. »… « Elle a 40 ans et lui 16… ».
On constate, connaissant la suite de leur histoire, combien Bibi fut subjuguée, attirée, fascinée par l’adolescent. Constamment elle le mettait en avant devant ses élèves.
En réfléchissant, je pense que la majorité des élèves devaient en avoir marre d’entendre la prof vanter les qualités de son « chouchou ». Mais pire, j’essaie d’imaginer les sentiments de jalousie que devait ressentir en particulier la fille de Bibi du même âge que Manu et dans la même classe ? N’en parlons pas quand les enfants apprirent les relations avec délit d’atteinte sexuelle et la séparation de leurs parents. Aujourd’hui, leur relation semble harmonieuse ; calme comme une mer d’huile. Mais comment croire qu’un tel drame glauque n’est pas laissé des traces douloureuses de part et d’autre.
En tant que professeur de théâtre Bibi, tout comme elle vantait les qualités littéraires de son « chouchou », également, elle lui réservait pour qu’il brille au maximum, le premier rôle.
On peut penser que dans le couple, c’est Bibi qui porte le pantalon, Manu ayant d’autres chats à fouetter. Dans le fond, c’est dans l’ordre des choses. On peut dire que l’homme porte officiellement et en principe le pantalon et la femme le porte officieusement et en pratique. Le principe de parité est ainsi respecté.
Dans le couple, en politique qui porte le pantalon ?
Lors de la campagne et une fois son mari devenu président de la République, tout comme elle le mettait en avant devant sa classe, elle continue à le faire sur le devant de la scène politique et médiatique et elle à rester en retrait mais en observatrice attentive de ses moindres faits, paroles et gestes. Et d’après les commentaires des proches du couple elle lui fait part des points positifs et négatifs de sa prestation sans langue bois avec franchise et clairvoyance. Et macron, écoute, accepte. Rarement rue dans les brancards. Sa femme est la seule personne qu’il écoute.
Elle a par-dessus tout horreur que quelqu’un vole la vedette à son mari. Dès le départ le tandem Alexis Kohler et Macron a parfaitement marché. Mais Brigitte a fini par trouver qu’il se mettait trop en avant et elle a explosé.
Au départ c’était : « Avec Alexis, il a trouvé son double » et après : « Je n’aime pas quand Alexis se place au niveau de mon mari »
Il faut dire que Kohler est le frère siamois de Macron ; surtout pour l’arrogance, comme le confirme un de ses subordonnés qui a dû en subir des humiliations :
« Il a un humour très proche de celui de Macron. Je me souviens que, lors d’une réunion, il avait fait un topo, et personne n’avait de questions. Il a alors lancé : “Eh oui, quand on est intelligent, c’est l’effet de sidération.” »
Dans un couple avec des caractères tellement forts, il est normal qu’il y ait le feu aux poudres et que par moment ça chauffe vraiment.
— Le 8 octobre 2018, dans un article de « Télé-Loisirs » du, on pouvait lire[3] :
« Si Emmanuel et Brigitte Macron s'affichent toujours aussi unis en public, le couple présidentiel n'en connaîtrait pas moins de vives disputes en privé. Depuis le début de l'été, le chef de l'État est en proie à de nombreuses polémiques. Entre l'affaire Benalla, sa petite phrase sur les chômeurs ou encore sa photo polémique aux Antilles, le président a connu une forte baisse de popularité ces dernières semaines. Un enchaînement de faux-pas qui ne passerait pas du tout du côté de son épouse. Très impliquée dans les choix de son mari, la Première dame lui aurait récemment remonté les bretelles comme il se doit...
Selon un membre du Groupe de sécurité de la présidence de la République (GSPR), cité par le journaliste Frédéric Helbert (ex-Europe 1 et BFMTV), Emmanuel Macron a subi une véritable "engueulade", une "déculottée" même, de la part de son épouse. Si la scène s'est déroulée à huis-clos, dans le bureau du président, elle aurait été si violente que les membres de la sécurité n'en ont pas perdu une miette. "Ca gueulait si fort derrière la porte qu'on a tout entendu", a expliqué l'officier du GSPR à notre confrère. "Il faut arrêter les conneries maintenant !", aurait notamment balancé Brigitte Macron à son mari. Il y a de l'orage dans l'air à l'Élysée ! »
— [4]Le 13 décembre 2018, deux mois après :
« Dans cette période compliquée marquée par la contestation des "Gilets jaunes", Emmanuel Macron est-il encore présent pour son épouse, Brigitte Macron ? A plusieurs reprises, ces dernières semaines, l'idée d'un président isolé, n'écoutant plus forcément son entourage, quelque qu'il soit, a été relayée, et cela également pour Brigitte Macron. "N'importe quoi !", balaye l'Élysée. "Si elle a quelque chose à lui dire, elle n'a besoin de personne. Il faut arrêter les fantasmes, le président de la République ne prend pas sa femme pour une conseillère occulte." »
Pour confirmer cette déclaration de l’Elysée, Alain Minc disait :
« Brigitte est essentielle pour comprendre Emmanuel Macron. Elle joue un rôle particulièrement important à ses côtés »
Celui qui nous livre la clef des relations profondes entre le couple, c’est Marc Endweld dans son livre « Le grand Manipulateur ». Il nous donne cette connaissance par touches successives :
1— « Sa femme Brigitte est presque toujours présente. La professeure de français n’est pas là pour meubler. Elle donne son avis, conduit le déroulement de la réunion, et répartit les tours de parole. Les quelques initiés présents à ces réunions s’aperçoivent très vite de son importance aux côtés d’Emmanuel. »
2— À l’automne 2016, Brigitte relit, et parfois réécrit, le livre Révolution qui lance l’aventure présidentielle d’Emmanuel Macron. Un travail de réécriture qu’elle aura également sur de nombreux discours. « Elle était au cœur du dispositif de la campagne », confie un ancien bénévole. Même sur les dossiers de fond, elle prend alors de nombreuses décisions auprès du candidat, y compris dans le domaine ultra-sensible des affaires étrangères, capable d’annuler de sa propre autorité une rencontre avec un chef d’État étranger. Au QG de campagne, elle sait mettre du liant entre tous les membres de l’équipe.
3 — Brigitte et Emmanuel sont liés sentimentalement, mais aussi politiquement. Ils forment un couple de pouvoir. Les communicants autour de Macron expliquent alors à la presse que la femme du ministre est présente aux réunions simplement pour mieux gérer son emploi du temps avec lui… En réalité, Brigitte Macron a son mot à dire sur tout, sur les recrutements, mais aussi sur la stratégie politique.
4 — À l’été 2016, alors que la machine « En marche » est lancée et que le ministre de l’Économie est sur le point de démissionner, le doute s’insinue en lui : « Est-ce que j’y vais maintenant, et je gagne en six mois ? Ou est-ce que j’attends pour gagner plus tard ? » C’est alors Brigitte qui le convainc de présenter sa candidature dès cette présidentielle.
5 — C’est lors d’un dîner chez Alain Minc, à l’été 2014, que la future première dame a estimé que son mari devait se jeter dans le grand bain de la présidentielle dès 2017, et ne pas attendre 2022, comme de nombreuses personnes lui conseillaient alors, car son âge, disait-elle, deviendrait un handicap indépassable pour le couple : « On ne peut pas attendre 2022. Car on a un énorme problème. Le problème, c’est moi, c’est ma gueule. Donc il faut accélérer. »
6 — Une drogue à vie. Cette ambition commune, cet appétit de conquête, cette volonté de revanche diront certains, les rend fusionnels : « Brigitte, c’est moi. Et moi, c’est elle », a l’habitude de dire Emmanuel Macron. « Ils sont un seul », remarque un intime du couple. « Elle a sûrement une ambition politique plus forte que lui », ose un autre. Ces confidences en disent long sur son véritable rôle, éloigné des « plans com’ » élaborés pour la presse people et audiovisuelle. De nombreux participants à la campagne s’en sont vite aperçus. L’un d’entre eux va même encore plus loin dans l’analyse : « Brigitte a créé l’homme, l’envie, l’être qu’il est. Le phénomène, la machine Macron, elle l’a pensé. Elle a senti un potentiel quand il était jeune, et lui a donné un destin. Il lui doit tout. » Emmanuel Macron ne dit pas autre chose, lorsqu’il remercie sa femme le soir du premier tour par ces mots qu’on croirait sortis d’un soap opera : « À Brigitte, toujours présente et encore davantage, sans laquelle je ne serais pas moi », déclame-t-il sur la tribune de la porte de Versailles. À ces mots, l’un de ses soutiens se demande : « Macron est-il pilote ou copilote de son destin ? » Sa femme est l’une des rares personnes qu’Emmanuel Macron écoute vraiment, et en qui il a confiance. Tous deux ont un caractère bien trempé et peuvent échanger leurs désaccords avec force. Sans filtres. Brigitte est le miroir dans lequel Emmanuel se regarde. Une drogue à vie. Dans les coulisses de la campagne, elle a joué un rôle politique central auprès de son mari. »
Alors, Dans le couple, en politique qui porte le pantalon ?...
Finalement, dans la scène de la vie politique du couple, bien qu’elle s’astreigne à rester en fond de scène c’est la figure de Brigitte qui apparaît au-devant de la scène.
A partir des précieux éléments donnés par Marc Endweld, je déduis que Macron est un animal de la politique, un fauve prédateur prêt à tout pour atteindre ses buts et que Brigitte en est la dompteuse.
Il n’empêche qu’ils forment un couple machiavélique, destructeur prêt à tout pour obtenir et conserver le pouvoir, la gloire dans l’immédiat et la richesse à venir…
[1] Marc Endeweld « L’Ambigu Monsieur Macron
[2] Marc Endeweld « L’Ambigu Monsieur Macron
[3] https://www.programme-tv.net/news/societe/216305-ca-gueulait-si-fort-derriere-la-porte-quon-a-tout-entendu-quand-brigitte-macron-passe-un-savon-a-son-mari-ca-ne-rigole-pas/
[4] https://www.closermag.fr/politique/non-le-lien-n-est-pas-rompu-entre-brigitte-macron-et-emmanuel-macron-909975
Pourquoi je suis Gilet Jaune !?!
Pourquoi je suis Gilet Jaune !?!
Première partie
Les Gilets jaunes : un mouvement unique et inattendu ou une révolution ? !
Je ressens au plus profond de mon cœur que les Gilets Jaunes écrivent des pages exaltantes et importantes de l’histoire de notre pays ; histoire qui a été tellement malmenée, falsifiée par les vainqueurs mais qui, si on cherche bien et avec sincérité, devient accessible, tout au moins, pour une certaine partie grâce à des vrais journalistes d’investigation, aux documents enfin déclassés. Aujourd’hui, grâce aux réseau sociaux, au citoyen lambda témoin d’évènements qui filme tout ce qui peut éclairer l’actualité et montrer la vérité dissimulée par les mass-merdias aux mains de quelques milliardaires à la botte de l’Etat comme courroie de transmission indispensable à leur propagande politique et à leurs intérêts financiers.
Les Gilets Jaunes sont arrivés dans la scène politique et sociale de nulle part ; comme une génération spontanée. Personne ne les attendait et en tout premier lieu Macron qui les a pris comme on dit en pleine gueule ! Ils sont apparus dans un France accablée, à genoux, désespérée par des décennies d’austérité et des reculs sociaux constants avec des syndicats de tout poil impuissants devant les différents gouvernements de gauche comme de droite.
Ils ont pris profondément conscience de la faillite à la fois des « corps intermédiaires » - syndicats de travailleurs et patronaux, partis politiques…- qui devaient logiquement les représenter et les protéger, mais également du dysfonctionnement de la démocratie représentative, des institutions nationales de droites comme de gauche complétement incompétentes et hors-sol qui ne songent qu’à se mettre en avant sur la scène en se multipliant les privilèges de l’argent, du pouvoir et des honneurs.
Les Gilets Jaunes expriment une colère avec un double aspect : économique et moral. La majorité sont des personnes qui travaillent et ont du mal à « joindre les deux bouts ». Ce n’est pas juste et ils demandent justice pour tous et surtout pour les plus démunis et les oubliés !
Ils savent que leur colère est légitime et qu’elle repose sur les besoins impérieux, les attentes quotidiennes de millions de citoyens qui profondément veulent en finir avec un système républicain aristocratique des élites qui multiplie les injustices dans une arrogance proclamée au plus haut-niveau par le chef de l’Etat lui-même.
Alors, ils sont arrivés subitement mais également avec une particularité qui effraie la classe politique en général et surtout Macron avec son pouvoir dictatorial et on ne peut vertical.
— Ce mouvement oppose à la verticalité macronienne l’horizontalité démocratique.
— Ce mouvement révolutionnaire agit, il bloque les routes, occupe les ronds-points, les péages laissant passer les voyageurs gratuitement. Quel sacrilège pour Vinci !
— Ce mouvement, dans les ronds-points en particulier, délibère, propose des solutions et des actions pour plus de justice sociale, plus de solidarité, plus de démocratie.
— Ce mouvement crée un esprit d’unité, de fraternité, de solidarité, la mise en commun de leur précarité, de leur souffrance sociale, de leur besoin d’exister et de ne plus être les éternels oubliés.
— Ce mouvement leur donne une assurance nouvelle ; celle du fameux Tiers-Etat les héritiers des Sans-culottes, des citoyens-combattants de février 1848, des communards de 1871 si durement réprimés dans le sang par Adolphe Tiers. Ils prennent conscience qu’ils veulent être des citoyens prenant part à la gestion du pays. Ils ne veulent plus être des électeurs signant un chèque en blanc à des politicards qui ne tiendront pas leurs promesses et continueront à piller la maison : le foyer France. Ils sont le peuple et ils veulent une la vraie démocratie : le pouvoir du peuple, par le peuple et pour le peuple. Tout simplement et comme cela devrait être !
— Ce mouvement veut mettre un terme à cette république aristocratique ; république des élites, des riches qui les écrase, les étouffe inexorablement. Il cristallise sur ce président des ultras-riches, arrogant, méprisant, manipulateur toutes leurs revendications, leurs souffrances, leurs exaspérations. Au fil des jours et des actes qui se déroulent inexorablement, samedi après samedi, ce mécontentement devient pour la majorité de la haine. Quel sacrilège pour Jupiter qui aime tellement qu’on l’adore ! Ils veulent une sixième république ou une première vraie démocratie où le pouvoir du peuple par le peuple et pour le peuple ne sera pas de la NOVLANGUE mais une réalité !
Incroyablement, cette nouvelle construction démocratique se met en place : aux péages, sur les ronds-points, aux bords des routes, aux abords des zones industrielles et commerciales. Les Gilets Jaunes s’approprie l’espace public, installent des lieux sociaux comme des. « Cabane jaune », « QG jaune », « Maison du peuple jaune ». Ils organisent leurs parlements et débats locaux d’où ils lancent leurs actions et mettent noir sur blanc leurs cahiers de doléances qui rappellent ceux de 1789 et qu’ils transmettent aux mairies. Ils développent un nouveau lien social qui brise l’isolement, le mépris et créent une véritable solidarité voire fraternité prêt à en découdre avec le pouvoir de l’argent et son État dont ce président des riches en est la caricature la plus détestable et détestée.
— Ce mouvement n’appartient à personne ; En tout premier lieu, se caractérise par le refus d’élire ou de choisir des « dirigeants ». L’histoire a démontré que souvent ils sont prêts à trahir à la première occasion ou aux suivantes chaque fois la tentation devenant trop grandes avec les avantages qui pourraient en résulter.
— Ce mouvement a inventé une action totalement inédite à laquelle ni les sans-culottes, ni les communards y pensèrent ou mirent en application. Ils ne veulent pas de chefs, de représentants, de porte-paroles qui finiront par les rendre inactifs, passifs, attentistes. Ils veulent agir, devenir citoyen à part entière. Ce principe si précieux de la démocratie représentative des élites qui nous gouvernent depuis plus de 200 ans, ils n’en veulent plus. Ce serait remettre le doigt, puis le coude, puis le corps entier dans cet engrenage de la démocratie représentative. Ce processus qui finirait par reproduire parmi eux le même système pyramidal, vertical qui existe et avec représentants qui baissent les bras, finissent par se faire acheter et s’en mettent plein les poches car le pouvoir, les honneurs finissent toujours corrompre.
— Ce mouvement perturbe les partis politiques classiques de droite comme de gauche et également les syndicats. Mais tout particulièrement Macron qui découvre un gros pavé dans l’engrenage de sa machine infernale conçue pour casser le peuple jusqu’à la lie, selon les directives de Bruxelles et les injonctions de la Mondialisation.
— Ce mouvement est insaisissable, incorruptible car on ne sait pas qui corrompre ou du moins qui adoucir pour mieux mettre dans sa poche et l’affaiblir jusqu’à son extinction.
— Ce mouvement affole les élites au pouvoir car pour eux les moins que riens, les gaulois réfractaires, les gueux doivent rester en bas et eux planer en haut complètement déconnectés des réalités. Dans ce mouvement l’inconcevable prend forme. Salariés, employés, chômeurs, SDF, hommes, femmes, jeunes ; Français issus également de la classe moyenne et périphérique, rurales et des petites villes prennent part à la lutte et veulent affirmer leur légitimité souveraine pour un nouveau contrat social et une véritable démocratie.
— Ce mouvement s’est doté d’un drapeau, un symbole : le gilet jaune. Objet rendu obligatoire par l’état à bord des véhicules depuis 2008. Il signale une situation de détresse : une panne ou un accident. Génialement les Gilets Jaunes se sont saisis de ce symbole pour signifier une urgence sociale, démocratique, humaniste, fraternelle ; écologiste, résumée simplement efficacement par ce simple slogan : « Fin du monde, fin de mois, même combat ». Le gilet jaune avec sa couleur chaude, lumineuse, éblouissante rend les « invisibles », « visibles » ; les « oubliés », « inoubliables ».
— Ce mouvement ne draine pas que les hommes. Les femmes dans les ronds-points, dans les actes successifs en font partie. Elles participent dans les nombreux espaces de discussions, de communauté, de fraternité et surtout de décision organisés dans les ronds-points ou autres lieux improvisés. Egalement à la télévision. Elles sont les premières concernées car les plus fragilisées et victimes de la précarité, du chômage, du temps partiel qui fait loi. Par le fait aussi de se retrouver seule avec des enfants et des pensions qui ne sont pas toujours honorées par leurs anciens conjoints. De ce mouvement, elles en sont une force essentielle et la grande inspiration.
— Ce mouvement ne draine pas que des hommes et des femmes mais également des jeunes inquiets pour leur avenir incertain menacé par le spectre du chômage, des emplois sous-payés après de nombreuses années d’étude ou non. Ils contestent dans les lycées et dans la rue. La jeunesse a toujours fait peur aux gouvernements quels qu’ils soient. On se souvient de mai 68. Les dirigeants savent qu’il ne faut pas toucher aux enfants ; leurs parents toutes sensibilités politiques confondues n’aiment pas ça !
— Ce mouvement ne veut plus que les solutions sociales, humanistes, viennent d’en haut : des politiques, de Bruxelles, de la finance, de la Mondialisation. Ils ont compris que le but de ces « complexes » : étatiques, agro-alimentaire, pharmaceutiques, militaro-industriel avec toutes leurs organisations et leurs homme de paille à leur solde sont là pour les exploiter, les robotisé ; faire d’eux des travailleurs-esclaves et des consommateurs à outrance…
— Ce mouvement, ce nouveau pouvoir populaire, à partir du soutien entre 75¨et 80 % de la population française, a pris conscience de son pouvoir légitime et impose son calendrier au gouvernement à partir des actes qui se succèdent chaque samedi dans de nombreuses villes dans l’hexagone et autres manifestations.
— Ce mouvement ne se contente de protester contre l’augmentation des taxes du carburant et de leur baisse. Cette goutte d’eau ou de Gas-oil qui aurait fait déborder le vase ! Prenant conscience de sa force, le peuple, le « moins que rien » réclame ni plus ni moins le pouvoir au peuple, par le peuple, pour le peuple. Rien que ça ! Et ça affole Macron. Reprendre le pouvoir sur les riches et ultra-riches, les puissances de l’argent. Sur « l’Etat profond » qui tire les manettes de l’Etat apparent avec tous ceux qui se gavent du système. Ce mouvement aspire à la justice et à la liberté. Et tout cela doit partie de la base et dans une totale horizontalité !
— Ce mouvement, le jeudi 29 novembre 2018, a envoyé aux médias et aux députés un communiqué comprenant 42 revendications qui désormais dépassent uniquement l’augmentation du prix du carburant.
Consciemment ou non, ils ont pris modèle des « Cahiers de doléances », des Sans-culottes en 1788, de l’insurrection des ouvriers en 1848, de la Commune en 1871. Malheureusement, les nobles aspirations sociales et humaines de ces révolutions du passé furent inachevées ; pire, elles finirent par être récupérées et utilisées à leur profit par le machiavélisme des possédants jusqu’à ce jour.
Vaincre ou périr !
La situation des Gilets Jaunes se résume à rester dans l’histoire comme un simple mouvement de protestation, une révolte ou une révolution durable transformatrice de notre société. J’ose de tout mon cœur espérer en la seconde !!!